Vous connaissez Viktor Frankl ?
Il était psychiatre.
Il a été envoyé dans les camps
Et il a observé quelque chose d’inattendu.
Lorsqu’il se passe quelque chose en dehors de notre contrôle
Appelons ça : « le stimulus »
Nous avons ensuite des réactions.
Eh bien, il s’est rendu compte que lorsqu’il n’avait plus rien
Aucune liberté.
Aucun respect de sa personne.
Plus rien qui ne le rattache à être un être humain.
Il lui restait qu’une seule chose.
Située entre ce stimulus et sa réaction.
Le libre-arbitre de choisir sa réaction.
C’est notre bien le plus précieux.
Certains choisissent la plainte, la négativité, broyer du noir.
D’autres choisissent la leçon, l’apprentissage, le positif.
Tout est une question de libre-arbitre.
PS : j’ai l’intime conviction que nous devons ressentir toutes les émotions, positives comme négatives, mais que l’être humain peut avoir tendance à se focaliser davantage sur les négatives par défaut (instinct de survie oblige), donc je suis convaincu qu’amener un état d’esprit positif aide à naviguer plus sereinement et à choisir une réaction plus appropriée.
Source de l’image : brainspicking point org
En savoir plus sur Viktor Frankl et la logothérapie
Viktor Frankl : https://en.wikipedia.org/wiki/Viktor_Frankl
La logothérapie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Logoth%C3%A9rapie